Ce sondage indique, en lien avec la situation actuelle du second degré et les conséquences de la politique éducative sur les conditions de travail et l’exercice du métier, une baisse sensible et qui s’accélère du sentiment de satisfaction des enseignants à l’égard de leur métier.
Sur de nombreux sujets (évaluation des personnels, sabordage du cadre national, conception du métier et remise en cause des statuts, imposition de la notion de compétences dans l’évaluation et comme entrée dans les programmes...) les enseignants sondés expriment très majoritairement une opposition à la politique menée par le gouvernement.